Pendant longtemps, les élections n’étaient qu’un jeu entre les mêmes visages.
Aujourd’hui, pour la première fois, des millions d’Ivoiriens voient un visage neuf, crédible, propre.
Assalé incarne un espoir concret, pas une illusion.
L’espoir que le pouvoir revienne à ceux qui n’en ont jamais eu.
L’espoir qu’un pays blessé puisse guérir.
L’espoir que tout n’est pas encore perdu.

De Tiassalé à Paris, du chauffeur de gbaka au fonctionnaire, chacun ressent une forme de fierté de voir “l’un des leurs” se lever.
Pas un héritier, pas un chef de clan, pas un carriériste.
Un homme normal, intègre, qui parle vrai et marche droit.
Beaucoup se disent : “Lui, c’est notre voix, notre dignité.”
Cette fierté est nouvelle. Elle est puissante.
Elle donne envie de défendre ce projet jusqu’au bout.

Des jeunes qui n’ont jamais voté s’informent. Des femmes suivent ses lives.
Des anciens déçus réécoutent ses discours avec attention.
Assalé suscite une curiosité rare : et si c’était vraiment possible ?
Son style direct, simple, accessible, pousse les Ivoiriens à réfléchir autrement.
Beaucoup redécouvrent le sens du mot “politique”.
Ce n’est plus un théâtre. C’est peut-être une solution

Dans un pays souvent saturé de mensonges et de manipulations, voir un homme parler sans détour, chiffres à l’appui, sans arrogance, crée un choc.
Les gens veulent savoir. Comprendre. Comparer.
Assalé ne fuit pas les questions, il les affronte.
Et plus il parle, plus la vérité attire.
La vérité devient virale. Et les Ivoiriens y goûtent.

Ce n’est plus l’époque des simples spectateurs.
Des milliers de volontaires se lèvent, créent des groupes WhatsApp, distribuent des tracts, organisent des réunions.
La campagne devient un mouvement populaire, horizontal, citoyen.
Même sans moyens, ils veulent faire gagner un homme propre.
L’action devient contagieuse. La rue appartient au peuple.

Les frustrations sont nombreuses : chômage, vie chère, mépris des élites…
Mais cette fois, la colère ne se transforme pas en violence.
Elle se transforme en projet, en engagement, en vote.
Assalé canalise la rage populaire vers un combat démocratique et digne.
C’est une colère intelligente, stratégique.
Une colère qui sait ce qu’elle veut.

De village en village, dans les marchés, sur les réseaux : les Ivoiriens se parlent à nouveau politique sans se diviser.
La candidature d’Assalé crée une dynamique de conversation, de conseil, d’éveil.
On partage ses vidéos, on explique son programme, on vérifie les faits.
Peu à peu, les Ivoiriens recommencent à croire les uns aux autres.
C’est rare. C’est précieux.
C’est le début d’une vraie nation citoyenne.