Quand on mange importé, on reste dépendant.

Quand on mange importé, on reste dépendant.

Nous mangeons ce que nous ne produisons pas.

Et ce que nous produisons, nous ne le transformons pas.

La Côte d’Ivoire est un grand pays agricole. Mais nos assiettes sont pleines d’importations.
Riz asiatique, tomates espagnoles, oignons hollandais, lait européen…

Pendant ce temps, nos producteurs souffrent.
Ils vendent mal. Ils gagnent peu. Ils dépendent des saisons, du climat, et du “bon vouloir” d’un système qui ne les respecte pas.

Comment un pays peut-il être riche en terre, et pauvre en nourriture ?

Une dépendance qui affaiblit tout le monde

Quand on importe massivement :

  • On affaiblit notre économie locale
  • On gaspille nos devises
  • On expose notre peuple aux pénuries et aux hausses de prix

Et surtout : on reste vulnérables. Si demain les frontières se ferment, que mangera-t-on ?

Ce que propose Assalé avec ADCI

L’agriculture n’est pas un secteur “pour les pauvres”.
C’est un moteur de souveraineté et de création de richesses.

Voici les 4 engagements forts d’Assalé :

  1. Transformer localement nos productions
  • Usines de transformation agroalimentaire locales
  • Financement ciblé des coopératives agricoles
  • Valorisation du “Made in Côte d’Ivoire” dans nos marchés et supermarchés
  1. Moderniser l’agriculture
  • Mécanisation intelligente (machines accessibles, durables)
  • Irrigation, stockage, logistique : tout ce qui permet de réduire les pertes et d’augmenter les revenus
  1. Former les acteurs agricoles
  • Formation des jeunes à l’agro-industrie moderne
  • Intégration du numérique, de l’écologie, des bonnes pratiques
  • Encouragement de l’entrepreneuriat rural
  1. Réduire la dépendance alimentaire
  • Plan national de réduction des importations stratégiques (riz, tomate, maïs, lait, etc.)
  • Objectif : nourrir le pays par le pays.

Un pays souverain, c’est un pays qui nourrit les siens

Ceux qui nourrissent le peuple ne doivent plus être les oubliés du développement.
Un producteur, une agricultrice, un transformateur doivent pouvoir :

  • Vivre dignement
  • Employer des jeunes
  • Être respectés comme des piliers de la nation

En 2025, l’agriculture n’est plus une promesse. C’est une priorité.

Assalé veut faire de l’agriculture un pilier économique moderne, respectueux de l’environnement, intégré dans la chaîne de valeur.

Ce n’est pas un rêve. C’est un plan. Il est écrit. Il est budgétisé.
Et surtout, il sera porté par des hommes intègres, pas par des “experts” de la surfacturation.

Si tu crois qu’un pays doit d’abord nourrir ses enfants avec ses propres mains,
partage cet article.

Nos jeunes ne sont pas perdus. Ils sont abandonnés.

Nos jeunes ne sont pas perdus. Ils sont abandonnés.

Dans les rues de nos villes, sur les réseaux sociaux, dans les ghettos ou les zones rurales, la jeunesse ivoirienne crie mais personne n’écoute vraiment.
On la traite de “délinquante”, “droguée”, “paresseuse”, mais qui l’a encadrée ? Qui lui a tendu la main ?

La vérité est simple : nos jeunes ne sont pas perdus. Ils sont abandonnés.


Le chômage, la violence, le décrochage : symptômes d’un abandon

  • Quand un jeune sort de l’école sans savoir à quoi il sert, il perd confiance.

  • Quand on lui promet un avenir qu’il ne voit jamais venir, il se révolte.

  • Quand personne ne l’aide à devenir un citoyen, il devient un risque au lieu d’un espoir.

Ce n’est pas la jeunesse qui est dangereuse. C’est le vide qu’on lui laisse.


Ce que propose Assalé pour inverser la tendance

Le programme d’Assalé Tiémoko Antoine et de l’ADCI ne parle pas de “gérer” les jeunes.
Il parle de les préparer, les encadrer et les responsabiliser. Voici les actions clés :


1. Éducation réformée, orientée vers les talents
  • Un système qui détecte les aptitudes très tôt

  • Des formations pratiques dans les domaines porteurs (numérique, agro-industrie, artisanat)


2. Service civique obligatoire
  • Tous les jeunes passent par un service civique structurant, pour apprendre les bases de la citoyenneté, du respect, et de l’engagement communautaire


3. Lutte contre les influences toxiques
  • Régulation de l’accès aux réseaux sociaux pour les mineurs

  • Campagnes contre les drogues et substances dangereuses


4. Implication locale dans la formation et l’emploi
  • Les collectivités auront l’obligation d’investir dans des centres de formation professionnelle

  • Création de débouchés concrets en lien avec le tissu économique local


La jeunesse n’a pas besoin de discours. Elle a besoin de direction.

Le plan d’Assalé n’est pas une liste de promesses pour séduire.
C’est une réponse à une urgence nationale :
🔹 Redonner une place et une mission à chaque jeune ivoirien.
🔹 Faire de lui un acteur, pas un spectateur frustré.


Changer de regard pour changer leur vie

Il est temps de :

  • Cesser de juger les jeunes comme s’ils étaient seuls responsables

  • Commencer à les écouter, à les comprendre, à les encadrer

Chaque fois qu’un jeune sort du système, c’est le pays qui recule.
Chaque fois qu’on le relève, c’est la nation qui avance.


Cette élection, c’est aussi la leur

Assalé est le seul candidat qui parle à la jeunesse avec respect et ambition.
Pas pour la manipuler. Mais pour la remettre au centre du projet national.