Le pays n’est pas pauvre. Il est mal partagé.

Le pays n’est pas pauvre. Il est mal partagé.

Il suffit de faire un tour dans un marché, de discuter avec un chauffeur de taxi, une vendeuse ou un enseignant pour entendre la même phrase :

“On travaille. On se débrouille. Mais on n’avance pas.”

Le problème en Côte d’Ivoire, ce n’est pas le manque d’argent dans le pays.
Le problème, c’est que cet argent ne va pas aux bonnes personnes.

Une économie qui ne profite qu’à une minorité

  • Quand les salaires stagnent mais que les prix grimpent.
  • Quand les logements deviennent inaccessibles.
  • Quand l’État finance des projets inutiles pendant que les familles manquent de nourriture ou de soins.

Ce n’est pas de la fatalité.
C’est une gestion injuste, souvent cynique.

Le constat est clair : les efforts sont collectifs, les bénéfices sont réservés.

L’agriculteur travaille.
L’artisan fabrique.
La commerçante se bat.
L’enseignant forme.
Mais les marchés publics sont pour quelques-uns, les exonérations pour les puissants, et les hausses de salaires pour les élus.

Ce que propose Assalé et ADCI : une économie qui respecte les citoyens

Voici les réformes concrètes prévues pour rééquilibrer les choses :

  1. Instauration d’un système fiscal équitable
  • Les petites entreprises ne paieront plus pour les multinationales
  • Lutte contre l’évasion fiscale des grands groupes
  • Réduction des impôts pour les petits producteurs, artisans, commerçants locaux
  1. Régulation des prix des produits essentiels
  • Encadrement des marges abusives sur le riz, l’huile, la farine, le sucre
  • Transparence sur les circuits d’importation et de distribution
  1. Contrôle des loyers et du “pas-de-porte”
  • Encadrement national du marché locatif
  • Révision des pratiques abusives sur les dépôts et loyers dans les grandes villes
  1. Redistribution par la justice sociale
  • Aide ciblée aux plus vulnérables, basée sur les efforts réels
  • Prélèvements sur les grandes fortunes non réinvesties dans le pays
  • Création d’un fonds de solidarité populaire (santé, éducation, emploi)

 Une politique qui met fin au “deux poids, deux mesures”

Ce que défend Assalé Tiémoko Antoine, c’est une économie plus simple, plus juste, plus humaine.

  • Pas une économie de slogans.
  • Pas une économie de vitrine.
  • Une économie qui commence par soulager ceux qui souffrent.

 Le vrai changement, c’est celui qui se voit dans le panier de la ménagère

Le peuple n’a plus besoin de chiffres.
Il a besoin de voir la différence dans son quotidien.
Et c’est ce que propose le programme ADCI : mettre fin au système de privilèges sans contrepartie.

Si toi aussi tu crois que la Côte d’Ivoire mérite une répartition plus juste,
partage cet article.

Nos jeunes ne sont pas perdus. Ils sont abandonnés.

Nos jeunes ne sont pas perdus. Ils sont abandonnés.

Dans les rues de nos villes, sur les réseaux sociaux, dans les ghettos ou les zones rurales, la jeunesse ivoirienne crie mais personne n’écoute vraiment.
On la traite de “délinquante”, “droguée”, “paresseuse”, mais qui l’a encadrée ? Qui lui a tendu la main ?

La vérité est simple : nos jeunes ne sont pas perdus. Ils sont abandonnés.


Le chômage, la violence, le décrochage : symptômes d’un abandon

  • Quand un jeune sort de l’école sans savoir à quoi il sert, il perd confiance.

  • Quand on lui promet un avenir qu’il ne voit jamais venir, il se révolte.

  • Quand personne ne l’aide à devenir un citoyen, il devient un risque au lieu d’un espoir.

Ce n’est pas la jeunesse qui est dangereuse. C’est le vide qu’on lui laisse.


Ce que propose Assalé pour inverser la tendance

Le programme d’Assalé Tiémoko Antoine et de l’ADCI ne parle pas de “gérer” les jeunes.
Il parle de les préparer, les encadrer et les responsabiliser. Voici les actions clés :


1. Éducation réformée, orientée vers les talents
  • Un système qui détecte les aptitudes très tôt

  • Des formations pratiques dans les domaines porteurs (numérique, agro-industrie, artisanat)


2. Service civique obligatoire
  • Tous les jeunes passent par un service civique structurant, pour apprendre les bases de la citoyenneté, du respect, et de l’engagement communautaire


3. Lutte contre les influences toxiques
  • Régulation de l’accès aux réseaux sociaux pour les mineurs

  • Campagnes contre les drogues et substances dangereuses


4. Implication locale dans la formation et l’emploi
  • Les collectivités auront l’obligation d’investir dans des centres de formation professionnelle

  • Création de débouchés concrets en lien avec le tissu économique local


La jeunesse n’a pas besoin de discours. Elle a besoin de direction.

Le plan d’Assalé n’est pas une liste de promesses pour séduire.
C’est une réponse à une urgence nationale :
🔹 Redonner une place et une mission à chaque jeune ivoirien.
🔹 Faire de lui un acteur, pas un spectateur frustré.


Changer de regard pour changer leur vie

Il est temps de :

  • Cesser de juger les jeunes comme s’ils étaient seuls responsables

  • Commencer à les écouter, à les comprendre, à les encadrer

Chaque fois qu’un jeune sort du système, c’est le pays qui recule.
Chaque fois qu’on le relève, c’est la nation qui avance.


Cette élection, c’est aussi la leur

Assalé est le seul candidat qui parle à la jeunesse avec respect et ambition.
Pas pour la manipuler. Mais pour la remettre au centre du projet national.